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Les informations présentes dans cette généalogie proviennent en très grande majorité d'actes d'état civil (tenu par l'Eglise avant la Révolution).
Ces informations sont en général limitées au nom, à la profession, et à la résidence.

Des personnes contemporaines, seul le nom de famille est donné. Les autres informations, dont les prénoms, sont considérées comme confidentielles.

Principes:
L'orthographe des noms n'est figée que depuis assez peu de temps. On trouve de nombreuses variations selon le prêtre ou l'officier d'état civil qui a rédigé l'acte. Les individus eux-mêmes peuvent orthographier leur nom différemment au cours de leur vie. Certaines personnes changent leurs prénoms ou ceux de leurs enfants avec une assez grande fantaisie.
On a parfois retenu l'orthographe la plus courante, mais en général le choix du nom principal est assez arbitraire.
En général, les noms de familles sont transcrits tels qu'écrits dans les sources, en tentant de respecter les accents, ou leur absence, avec quelques rares exception comme la finale "eé" que l'on transcrira en "ée".
La transcription des prénoms est moins rigoureuse. Le respect des diacritiques n'est pas absolu: si la source indique "Loüis Francois", on saisira en général "Louis François".

Conventions:
Les dates sont toutes exprimées dans le calendrier Grégorien. Le cas échéant, la date dans le calendrier Républicain est donnée en commentaire.
Dans une même famille, on trouve souvent les même prénoms. Pour les distinguer, un suffixe est parfois ajouté au nom.
Si le suffixe n'est pas entre parenthèses, comme par exemple "Denis Dallonne l'aîné", c'est qu'on retrouve cette appellation dans un acte religieux ou d'état civil.
Si le suffixe est entre parenthèses, comme "Guillaume Joseph Sommier (père) " ou "Pierre Collas (2)", le suffixe a été inventé pour cette généalogie, et il est possible que ce suffixe change à mesure que de nouveaux ancêtres vont être découverts (par exemple, si on trouve que le père du père a aussi le même prénom).
Un nombre en chiffres indiens/arabes entre parenthèses est juste un numéro arbitraire permettant de distinguer des individus. Il n'implique aucune idée de filiation. "Pierre Collas (2)" n'est pas le fils de "Pierre Collas (1)", et rien ne dit même qu'ils soient nés dans l'ordre donné par ces nombres!
Le chiffre (1) peut ne pas être indiqué, pour simplifier la lecture.
A contrario, les nombres en chiffres romains sont utilisés quand il se trouve plus de deux générations avec les mêmes prénoms; voir par exemple les "Jacques Auxan (I) à (IV)".
D'une manière générale, les chiffres romains sont utilisés dans une même famille, généralement pour distinguer père, fils et petit-fils, mais peuvent aussi être utilisés dans une même fratrie pour distiguer les frères/sœurs portant les mêmes prénoms.

Personnes inconnues:
On distingue plusieurs types de personnes inconnues:
1) Quand on sait que deux individus de mêmes noms sont frères, on crée alors un père hypothétique de ce nom, auquel on donne le prénom conventionnel "Yyy" ("Xxx" pour les femmes). On ne sait rien sur ces individus.
En principe, ces individus hypothétiques sont éliminés avant la production des pages HTML, et ne devraient pas apparaître.
2) Les enfants décédés avant le baptême sont affectés du prénom conventionnel "(anonyme)".
3) En général, les enfants naturels n'ont pas de nom: celui-ci est laissé vide.